Midi poésie

Détail de l’événement

mar

13

février
cestlarécré
machinescolaire

ON PEUT BOIRE LA TRANSPIRATION DE LA MACHINE avec Antoine Boute et Ash Périer

Special Day
Rideau (Le)
(7a, rue Goffart - 1050 Ixelles)
10€/8€/Gratuit pour les étudiant·es !

ON PEUT BOIRE LA TRANSPIRATION DE LA MACHINE avec Antoine Boute et Ash Périer

Réservation

Appel général aux cancres hypersensibles, aux injustices et dysfonctionnements de la machinerie scolaire qui hantent plus ou moins fort le coeur de quiconque à été scolarisé.

Rendez-vous pour écrire ensemble un livre express le temps d'une récré : un inventaire des confessions de nos épopées scolaires + les prémices légendaires de nos vies + flash bureau des réclamations + les pépites de nos débats-ébats profs-élèves + nos bêtises grandioses et mystérieusement intelligentes. À la fin de cette récré, on aura co-écrit un bouquin mais pas de ceux qu'on fait lire à l'école...

Bref vous l'aurez compris, aiguisez vos bics autant que vos sarbacanes, préparez vos best antisèches pour écrire votre vengeance-confiance scolaire tout à vous, la sonnerie retentira à midi pile le 13/02/24 au Rideau de Bruxelles. Ps: teaser de ce qui nous attend dans les visuels de l'événement...

Antoine Boute

« Cracheur de feu sonore, activiste expérimental, écrivain, performeur, philosophe biohardcore, professeur aux Écoles supérieures des Arts ERG et Saint-Luc à Bruxelles, Antoine Boute explore, depuis Cavales, Les morts rigolos, Opérations biohardcores, Manuel de civilité biohardcore, Apnée, Prompt…, des formes textuellement modifiées. Il affectionne les écritures plurielles, la création collective (avec Victor, Lucas et Clément Boute, Stéphane de Groef, Adrien Herda, Chloé Schuiten, Clément Thiry, Jeanne Pruvot Simonneaux…) et invente des agencements esthético-politiques qui font voler en éclats la littérature en batterie. »

Véronique Bergen, dans « Le carnet et les instants ».

Ash Périer

Ça écrit ça installe ça performe. Incise aiguise écoute. La mort les animaux les braises la forêt l’eau et les vibrations. Mon travail rode entre l’hydroféminisme, l’écopoétique et le soin des relations inter-espèces. J'aiguise des murmures à l'oreille des orques et passe le plus clair de ma vie à flirter avec la mort. Sinon, j’étudie à l’ERG (école de recherche graphique) à Bruxelles depuis 2020.